Malheur aux perdants
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Il y a un an, le candidat de centre gauche à la présidentielle, Andres Manuel Lopez Obrador (Amlo), contestait le résultat du scrutin et mobilisait pendant des semaines des centaines de milliers de partisans. Qu’est-il devenu ? Après la confirmation des résultats, il avait promis de sillonner le pays. Pour mobiliser les mécontents et constituer un contre-pouvoir. Il a tenu parole, mais pas avec le résultat escompté, puisque son concurrent conservateur, Felipe Calderon, préside aujourd’hui tranquillement et bénéficie même d’une popularité certaine. Quant à Amlo, il n’est parvenu à rassembler dimanche, autour de son nom, que quelques dizaines de milliers de personnes.
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