Thon marron
Article paru
dans l’hebdo N° 976 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 976 Acheter ce numéro
Très grosse responsabilité pour la Commission internationale de gestion des thonidés de l’Atlantique (Iccat), réunie en Turquie, et qui doit décider avant le 18 novembre d’actions enfin efficaces de protection du thon rouge, au bord de la disparition en Méditerranée, après dix ans de surexploitation et de pêche illégale. Les demi-mesures de l’an dernier n’ont même pas été appliquées, et les quotas définis en 2006 ont été superbement ignorés. Pour Greenpeace, une seule solution désormais : fermer sine die la pêche au thon rouge en Méditerranée.
Plus d’information : www.greenpeace.fr
Temps de lecture : 1 minute
Pour aller plus loin…
Environnement • 19 novembre 2024
abonné·es
Une proposition de loi surfe sur la colère agricole pour attaquer violemment l’environnement
Deux sénateurs de droite ont déposé une proposition de loi « visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur ». Mégabassines, pesticides, etc. : elle s’attaque frontalement aux normes environnementales, pour le plus grand bonheur de la FNSEA.
Par Pierre Jequier-Zalc
Entretien • 13 novembre 2024
abonné·es
« L’élection de Trump tombe à un très mauvais moment pour le climat »
Climatosceptique de longue date, Donald Trump ne fera pas de l’écologie sa priorité. Son obsession est claire : la productivité énergétique américaine basée sur les énergies fossiles.
Par Vanina Delmas
Entretien • 8 novembre 2024
abonné·es
« Des événements comme la COP 29 n’apportent pas de transformations politiques profondes »
Le collectif de chercheurs Scientifiques en rébellion, qui se mobilise contre l’inaction écologique, sort un livre ce 8 novembre. Entretien avec un de leur membre, l’écologue Wolfgang Cramer, à l’approche de la COP 29 à Bakou.
Par Thomas Lefèvre
Entretien • 6 novembre 2024
libéré
Clément Sénéchal : « Les gilets jaunes ont été le meilleur mouvement écolo de l’histoire récente »
L’ancien chargé de campagne chez Greenpeace décrypte comment la complicité des ONG environnementalistes avec le système capitaliste a entretenu une écologie de l’apparence, déconnectée des réalités sociales. Pour lui, seule une écologie révolutionnaire pourrait renverser ce système.
Par Vanina Delmas