Petit « oui » croate
Article paru
dans l’hebdo N° 1187 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1187 Acheter ce numéro
Après la Slovénie en 2004, la Croatie devrait être la deuxième des six ex-républiques yougoslaves à adhérer à l’Union européenne, qui comptera 28 membres au 1er juillet 2013. Ce dimanche, vingt ans après l’indépendance, le peuple croate l’a accepté par référendum à 66,24 %. Record historique d’abstention, avec 43,58% de participation. Cela suffit néanmoins à réjouir l’intelligentsia nationale. Augustin Palokaj, du quotidien Jutarnji List, considère que « le “oui” croate est également un grande consolation pour l’UE, car le non aurait signifié un échec patent pour elle ». Le Monténégro et la Macédoine sont candidats, l’Albanie et la Serbie demandeurs de candidature. Pour une Europe à combien de vitesses ?
Temps de lecture : 1 minute
Pour aller plus loin…
Portfolio • 20 novembre 2024
abonné·es
La Brigade rouge : un poing c’est tout !
Pour pallier les carences et manquements de l’État indien, l’ONG la Brigade rouge s’est donné pour mission de protéger et d’accompagner les femmes qui ont été victimes de viol ou de violences sexistes et sexuelles. Reportage photo.
Par Franck Renoir
Reportage • 20 novembre 2024
abonné·es
À Koupiansk, en Ukraine, « il ne reste que les vieux et les fous »
Avec les rapides avancées russes sur le front, la ville de Koupiansk, occupée en 2022, est désormais à 2,5 km du front. Les habitants ont été invités à évacuer depuis la mi-octobre. Malgré les bombardements, certains ne souhaitent pas partir, ou ne s’y résolvent pas encore.
Par Pauline Migevant
Reportage • 20 novembre 2024
abonné·es
À Valence, un désastre climatique et politique
Après les terribles inondations qui ont frappé la région valencienne, les réactions tardives du gouvernement de Carlos Mazón ont suscité la colère des habitants et des réactions opportunistes de l’extrême droite. Pour se relever, la population mise sur la solidarité.
Par Pablo Castaño
Analyse • 13 novembre 2024
abonné·es
Pourquoi les Démocrates ont perdu l’élection présidentielle
Après la défaite de Kamala Harris, les voix critiques de son parti pointent son « progressisme », l’absence de considération des classes populaires et le coût de la vie aux États-Unis. Les positions centristes de la candidate pour convaincre les électeurs indécis n’ont pas suffi.
Par Edward Maille
Best of
Les plus récents
1
Soulèvements de la Terre : le procès inédit de deux militants écologistes
2
Grève des agents périscolaires à Paris : « Nous sommes des essentiels invisibles »
3
Congrès PS : sauver ou dégager Olivier Faure ? Les socialistes à fond les manœuvres
4
Le Parlement européen ne doit pas céder aux pressions racistes de l’extrême droite contre Maboula Soumahoro