Smart rétrécit les salaires
Les 800 ouvriers de l’usine Smart de Hambach travaillent désormais 39 heures payées 37.
Article paru
dans l’hebdo N° 1422 Acheter ce numéro
dans l’hebdo N° 1422 Acheter ce numéro
Les 800 ouvriers de l’usine Smart de Hambach (Moselle) travaillent désormais 39 heures payées 37. Pour contourner le veto des syndicats majoritaires (CGT et CFDT), la direction a organisé, en septembre 2015, une consultation des employés, sur fond de menace de fermeture de l’usine, qui a abouti à 56 % de votes favorables. Cet accord, appliqué depuis le 2 octobre, aurait déjà permis la suppression d’une quarantaine d’emplois intérimaires, selon l’AFP.
Pour aller plus loin…
Travail • 15 novembre 2024
abonné·es
« Métiers féminins » : les « essentielles » maltraitées
Les risques professionnels sont généralement associés à des métiers masculins, dans l’industrie ou le bâtiment. Pourtant, la pénibilité des métiers féminins est majeure, et la sinistralité explose. Un véritable angle mort des politiques publiques.
Par Pierre Jequier-Zalc
Social • 9 novembre 2024
Jeu vidéo : un tiers des effectifs du studio français Don’t Nod menacé de licenciement
Les employés du studio sont en grève. Ils mettent en cause une gestion fautive de la direction et exigent l’abandon du plan, révélateur des tensions grandissantes dans le secteur du jeu vidéo.
Par Maxime Sirvins
Luttes • 29 octobre 2024
abonné·es
Chez ID Logistics, un « plan social déguisé » après le départ d’Amazon
Depuis plus de deux semaines, les salariés d’un entrepôt marseillais d’une filiale d’ID Logistics sont en grève. En cause, la fermeture de leur lieu de travail et l’imposition par l’employeur d’une mobilité à plus de 100 kilomètres, sous peine de licenciement pour faute grave.
Par Pierre Jequier-Zalc
Travail • 23 octobre 2024
abonné·es
Mort de Moussa Sylla à l’Assemblée nationale : le parquet poursuit Europ Net
Selon nos informations, le parquet de Paris a décidé de poursuivre l’entreprise de nettoyage et ses deux principaux dirigeants pour homicide involontaire dans le cadre du travail, plus de deux ans après la mort de Moussa Sylla au cinquième sous-sol de l’Assemblée nationale.
Par Pierre Jequier-Zalc