Didier Porte : «Un pouvoir qui s'en prend à ses bouffons est un pouvoir aux abois»
• 1 juillet 2010
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Didier Porte : « C’est un contre-pouvoir de plus qui s’effondre »
Les humoristes Didier Porte et Stéphane Guillon ont été brutalement licenciés de France Inter.
Didier Porte affirme que l’on voulait sa peau en raison de ses critiques du pouvoir. L’affaire survient en pleine préparation, pour le moins chaotique, de la grille de rentrée de la radio.
Par Jean-Claude Renard
• 1 juillet 2010
Les causes d’une dérive annoncée
Loin de nous l’idée de triompher sur l’air de « on vous l’avait bien dit ».
Pourtant, les crises actuelles prennent bien leur source dans une conception de l’Europe que nous avons toujours combattue. Retour sur dix-huit ans d’analyses des traités successifs dans les colonnes de Politis .
Par Michel Soudais
• 1 juillet 2010
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Val dans le texte
Nous publions ici quelques extraits
de la lettre de Philippe Val adressée aux salariés de France Inter, vendredi 25 juin.
Par Politis
• 1 juillet 2010
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Aux origines de la crise : Maastricht
Dès 1992, Politis pointait les dangers du traité constitutif
de l’Union européenne, cet « hymne à la gloire du marché »
qui ne souffrait «aucune exception ».
Par Michel Soudais
• 1 juillet 2010
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Le chaos d’Inter
Les licenciements de Didier Porte et de Stéphane Guillon témoignent d’une gestion
de la Maison ronde partagée entre la mauvaise foi et le cynisme.
Par Jean-Claude Renard
• 1 juillet 2010
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Une instabilité prévisible des pays de la zone euro
Les dispositions du traité de Maastricht portaient en germe les crises actuelles de la dette. Mais, à l’époque, toute critique était assimilée à du nationalisme antieuropéen.
Par Thierry Brun
• 1 juillet 2010
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Libre-échange sans limite
Alors qu’une majorité de citoyens souhaitent une Europe sociale, fondée sur des principes de solidarité, c’est un système reposant sur la concurrence qui leur est imposé.
Par Thierry Brun
• 1 juillet 2010
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Bolkestein à l’œuvre
La fameuse directive de libéralisation du marché des services, qui a contribué au « non » du référendum de 2005, n’a jamais été retirée, en dépit des affirmations des politiques.
Par Thierry Brun
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